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Je vis et travaille à Metz - France

 

Sculpteur autodidacte, j’ai longtemps travaillé le bois des troncs d’arbres évidés, transformés en tambours sculptés : djembé, pérenkété, sabar, conga… et des hybrides.

 

Puis vint la rencontre avec, d’abord Jean Louis Hurlin, maitre de forge, ensuite les Kumquats (Philippe Radier & Julien Gérard), une agence de design qui conçoit et réalise du mobilier en acier brut (agencements de restaurants, des magasins, des décors pour des émissions de télé, et chez des particuliers.)

 

Ainsi, je me retrouvais plongé dans l’univers grisant du métal durant 12 ans.

 

Après cette aventure dense et riche avec les Kumquats, je démarrais en 2004 une production personnelle à l’atelier Motus qui est l’objet et le sujet principal de ce site.

 

 

 

 

 

Loin d’en avoir fait le tour, l’art pariétal, et l’art africain m’ont toujours fasciné.

 

Le statuaire africain recèle une masse de signes et de symboles que j’abordais dans sa part plastique, esthétique. Le changement eut lieu à ma découverte, lors d’une expo de calligraphie à Metz, d’une écriture africaine : le nsibidi (ou nsibiri). C’est une écriture afro-africaine, c’est à dire qu’elle n’a subi ni l’arabisation ni la latinisation, riche de quelques 960 signes. Elle est estimée au moins contemporaine des hiéroglyphes égyptiens (IVe millénaire av. J-C).

 

Cette écriture, je l’ai utilisée telle quelle dans un premier temps dans mes réalisations pour ensuite la détourner de façon à raconter mon regard qui dépeint la rencontre avec l’autre, et l’autre. J’en ai fait ma cursive qui ne dévoilera l’intime sous aucun prétexte.

A propos de mon graphisme.

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